Ce texte prend pour point de départ l’œuvre de Katinka Bock (et une rencontre avec l’artiste dans son atelier) pour interroger son emploi du textile (en dialogue avec les travaux de Jessica Warboys, Marie Lund et Adrien Vescovi, mais aussi avec l’histoire de la peinture, d’Antonello de Messine à Berthe Morisot), impliquant un autre lien au sujet, hors de l’opposition entre abstraction et figuration, dans un rapport au monde (paysage et corps) qui, entre contact et distance, entre présence (apparition) et absence (séparation), met en jeu une dimension auratique.